L’Opéra d'Alger Boualem BESSAIH abrite  un concert  grandiose, jeudi 10 mai 2018,  19h00, intitulé ‘Les Merveilles de la Musique Russe’, avec le Chœur et Orchestre Symphonique de l'Opéra d'Alger, et la  participation de la violoncelliste russe Elena ZHULEVA, sous la direction musicale du maestro Amine KOUIDER. 

Au menu : Danses Polovtsiennes (extrait de Prince Igor) de A.Borodine ; Tableaux d'une exposition de Moussorgski ; Variations sur un thème Rococo de P.I.Tchaikovsky. 

À l'occasion de la parution du récit En quête de L'Étranger  traduit de l'anglais par Patrick Hersant Les éditions Barzakh ont le plaisir de vous inviter à une rencontre avec l'écrivaine ​ALICE KAPLAN professeure à l’université de Yale aux États-Unis et cela le samedi 05 mai à partir de 15h00. Une rencontre animée par le journaliste Walid Bouchakour à Librairie L'Arbre à dires à Sidi Yahia.

Un dîner traditionnel typiquement algérois suivi d’une soirée animée par la chanteuse Lamia Maadini sont organisés par Ma Box, jeudi 3 mai, à partir de 19 h 30. Menu : Rechta au poulet, salade de fruits, café accompagné de petits gâteaux traditionnels. Réservez vos places en appelant les numéros ci-dessous.

Souhila Belbahar, la doyenne des artistes peintres algériens vous invite à découvrir sa nouvelle collection de toiles intitulée ‘Arc -en-ciel et bleu de Chine’, à la galerie Dar El kenz, à partir de 15h. Ces belles aquarelles orneront les murs de cette galeries jusqu’au 17 mai. Profitez-en !

Pour ses nouvelles toiles, elle a mis plein de couleurs dans ses pinceaux. L’artiste plasticienne Djahida Houadef expose sa nouvelle collection intitulée ‘Pacte avec la lumière’ à la galerie Ezzou’Art (Bab Ezzouar) du 3 au 24 mai. Vernissage : jeudi 3 mai, à partir de 15h.

En décembre dernier, une pléiade d’artistes s’est retrouvée en résidence dans la ville ocre de Taghrit. Cette rencontre a donné naissance à un florilège de travaux que Vivarium, porteur de ce projet  vous invite à découvrir sous le titre ‘Les Ateliers du Désert’, à la Villa Abdeltif du 4 au 13 mai.

Les œuvres sont signées : Valentina Ghanem, Adlane Djeffal, Yasmine Bourouila, Manel Drarni… 

A l’occasion du Festival de la 10 eme édition de la  musique andalouse Senaa la chanteuse et animatrice Manel Gherbi ouvre le bal au Palais de la Culture Moufdi Zakaria, jeudi 3 mai, à partir de 18h. Accompagnée par un orchestre andalou sous la houlette de Mansour Brahimi, elle vous interprètera une Nouba dans le mode Dil.

La galerie ‘L’ART A PART’, abritera une très jolie exposition de l’artiste peintre Otmane Mersali du 4 mai au 5 juin. Vernissage prévu, vendredi 4 mai à partir de 16 h.

Nouveau restaurant cosy et branché. Lumière tamisée et déco industrielle.  Florilège de mobiliers. Banquettes,  tables basses, comptoir. Concept : un service avec buffet (chaud et froid) pour le repas de la mi-journée. Trois formules au choix. La boisson est offerte. Au menu également, plat du jour. (Sardines grillées, soupe de poulet, penne…). Une cuisine simple et pas onéreuse pour fonctionnairespressés.  Entre les repas, cafés et gourmandises.  Le soir, menu à l’ardoise

La galerie « Seen Art » abrite du 01 au 17 mai 2018, une exposition collective intitulée ‘Hors cases’ et signée par trois  artistes : El Meya, Bardi et l’Homme jaune. Vernissage : mardi 1 Mai, à partir de 11 heures, autour d’un brunch convivial. L’exposition sera visible jusqu’au 17 mai.

El Meya : Son œuvre porte sa vision intimiste, féminine, s’inspirant des rituels et traditions. Elle apporte une lecture onirique des pratiques sociales et de la place de la femme et des artistes, dans une société déchirée entre conservatisme islamique et société de consommation effrénée.

Bardi : Artiste libre d’expression, qui bouscule les codes visuels à travers ses personnages hauts en couleurs venant tout droit d’un monde fantastique et fantasque.  Le reflet de la réalité dans ses œuvres est tellement subtil que l’on se trouve plongé dans cet univers à la fois illusoire et sarcastique.

L’homme jaune : Icône d'une jeunesse hyper-connectée et en recherche d’un idéal.  L’artiste s’attaque au système politique, médiatique, mais aussi aux mœurs actuelles et à l’individualisme ambiant en détournant les grandes œuvres universelles.