Gallery Aida abrite une soirée poétique intitulée ‘Mulâqat El Kalame’, jeudi 31 mai, à partir de 22h. Au programme : déclamation de poésie et performance musicale, en toute convivialité, autour d’un verre de thé à la menthe.

Envie de voir un film sur grand écran confortablement sous la belle étoile ? Ne manquez pas les « Nuits du Cinéma » Ce rendez-vous incontournable des cinéphiles au théâtre de verdure Lâadi Flici, qui devient durant tout le mois du ramadan la plus grande salle de cinéma d’Alger à ciel ouvert. Cette troisième édition est organisée par la société de distribution MDCiné, en partenariat avec l’Etablissement Arts et Culture de la wilaya d’Alger.

L'écrivaine KAOUTHER ADIMI signera son roman NOS RICHESSES le 3 juin 2018 à partir de21h30 à la librairie " Point Virgule" à cheraga. 

Née en 1986 à Alger, Kaouther Adimi vit à Paris après avoir suivi des étude de lettres à l'Université d'Alger.​ Son premier roman, Des ballerines de papicha (barzakh, 2010), a été repris chez Actes Sud en 2011 sous le titre L’Envers des autres ; le suivant, Des pierres dans ma poche, a été publié en 2015 aux éditions barzakh, puis au Seuil en 2016. ​Paru simultanément en France aux éditions du Seuil​ et aux éditions barzakh en Algérie en août 2017​, ​Nos richesses ​a connu un vif succès public et a été salué par la critique. Il​ a ainsi été récompensé par le​ prix​ Renaudot des lycéens​ 2017​, le prix du Style​ 2017​ et le prix Beur FM Méditerranée 201​8.

L’espace Agora de Riadh El Feth  organise, tous les soirs, à partir de 22 h (jusqu’au 11 juin)  des soirées festives. Les soirées de la Médina sont rehaussées par la présence d’une brochette de chanteurs chaâbi et malouf. La fête se poursuit jusqu’à 1 h du matin. Bonne nouvelle : c’est gratuit. Profitez-en

C’est une exposition collective intitulée ‘A la mémoire de Salah Hioun’ qui s’ouvre vendredi 1 juin à la Galerie El Yasmine, en hommage à cet artiste plasticien disparu il y a quelques mois. Bon nombre d’artistes y participent avec leurs œuvres à l’exemple de SaidDebladji, Valentina Ghanem, Moussa Bourdine, Ali Silem, Adane Mustapha…

Vernissage : vendredi 1 juin, à partir de 22 h. L’exposition sera visible jusqu’au 6 juillet.

Ramadan in the City est une expo-vente qui s’installe pour la deuxième année consécutive au centre commercial City Center pour vous proposer de découvrir le travail fait main d’artisans et d’artisanes de divers horizons : céramique, savons naturels, pochettes, bags mais également de bons produits à consommer comme le miel et ses dérivés, l’huile d’olive, les figues sèches, le chocolat artisanal… C’est du jeudi 31 mai au samedi 2 juin, à partir de 22h.

L’Institut Cervantès d’Alger organise ‘Noches de Ramadan’ (Nuits de Ramadan), un concert de musique andalouse avecla chanteuse Lila Borsali et le musicien Suhaïl Serguini, mercredi 30 mai à la salle Ibn Zeydoun (Riadh El Feth), à 22 h.

La quatrième édition de Souggensa (Le souk des femmes), concept store original qui met en valeur le travail fait main de femmes artisanes vous donne rendez- vous lors de deux soirées à la salle Zaccar, de l’hôtel Holiday Inn, Cheraga Tower, mercredi 30 mai et jeudi 31 mai, à partir de 22h30. L’occasion de découvrir les œuvres réalisées par une belle brochette d’artisanes algériennes et étrangères pleines de talent.

La méditerranée s'invite à vos soirées ramadanesques grâce au nouveau beach lounge « Le Prana », situé au sein de l'hôtel Sheraton Club des pins. Offrant à ses invités un éventail d'amusements sur la plage dans une ambiance décontracté et sereine qui vous garantit une soirée inoubliable. Avec Plusieurs nids, dispersés sur les sables de la plage Sheraton et de la bonne musique jouée par le Dj, le Prana est l’endroit idéal pour vos soirées en plein air.    

Remontons le temps avec ce jeu féminin ancestral. Lors des soirées de Ramadan, les femmes de la Casbah mais également d’autres régions d’Algérie  comme Cherchell, Bejaia, Collo pratiquaient le jeu de la boqala. La maîtresse de maison apportait un pot en terre cuite rempli d’eau. Chaque femme y déposait un bijou lui appartenant (broche, bracelet, bague…). La plus âgée tournait sept fois le pot au-dessus d’un brasero où brûlait de l’encens.

Intérieurement chaque femme se concentrait  sur un être qui lui était cher ou sur une situation qui l’a préoccupait. La doyenne récitait un court poème. On demandait alors à une jeune fille de plonger sa main dans  le pot d’eau et de saisir un bijou au hasard. Le poème récité était alors dédié à la propriétaire du bijou. Elle l’interprétait alors comme une sorte de présage, ou de ‘fâ’l’.