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 Meriem Guemache

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lundi, 27 janvier 2020 15:52

Klam & IcoWesh en concert à Ibn Zeydoun

Le rappeur algérien, Icosium (ico-wesh) vous donne rendez-vous le 6 février à partir de 18h30 à la salle Ibn Zaydoun de Riadh El Fath. Mehdi Mohammedi, alias Icosium (le nom romain d’Alger), est natif d’Alger en 1991. Parallèlement à des études en marketing et à une carrière professionnelle dans le marketing et la gestion d’entreprises, Icosium a sorti des albums engagés, politiquement ou socialement contestataires, seul ou associé à d’autres rappeurs algérois (notamment les anciens du groupe MBS ou avec son propre collectif Bled-Art. Il a écrit ses premiers textes à l’âge de 13 ans et  commencé à faire du rap plus sérieusement à partir de 2008,  avant de rejoindre ou de créer différents groupes tels que Sexion 16, Amalgam, Foupoudav ou encore la Bled-Art Family.

La nouvelle pièce "Khatini" signée le théâtre régional Djillali Benabdelhalim de Mostaganem sera à l'affiche les 5,6 et 8 février au Théâtre National Mahieddine Bachtarzi à Alger. Ecrite et mise en scène par Ahmed Rezzak, la pièce aborde un pays confronté à la vieillesse de la population et à la désertion massive des jeunes, avec comme trame de fond l’histoire de Khatini, dernier jeune à y rester, entredéchiré entre le désir d’émigrer et l’amour de la patrie.

Le Mercredi 5 février à 18h00

Le Jeudi 6 février à 18h00

Le Samedi 8 février à 16h00

Dans le cadre de son programme, « un mois, un film », la Fondation Zaphira Yacef à travers son ciné-club « cinéToiles » et en partenariat avec la cinémathèque d’Alger, vous invite à rendre hommage à un des plus grands symboles de la paix de l’histoire de l’humanité avec la projection du film « Gandhi » le samedi 01 Février 2020 à partir du 15h à la Cinémathèque d’Alger rue Larbi Ben M'hidi ( En face le musée MAMA ).

dimanche, 26 janvier 2020 06:47

Rencontre-débat avec Kaouther Adimi

 Dans le cadre de la 4 eme édition de la Nuit des Idées, l'Institut français d'Alger abrite une rencontre-débat avec la romancière Kaouther Adimi jeudi 30 janvier à 18h, autour de son dernier roman 'Les petits de Décembre' (Editions Barzakh). Modératrice: Sara Kharfi (journaliste). Lecture de textes: Yasmine Sadoud et Lynda bensid. Une deuxième rencontre sera programmée le 1 février à partir de 15h au niveau de la librairie Mauguin à Blida. 

Artissimo organise une rencontre-débat sur la thématique de l'humour à l'Algérienne jeudi 23 janvier à 18h. Le débat sera animé par Zafira Ouartsi (directrice d'Artissimo), Slim (dessinateur de presse), Youcef Benadouda (humoriste) et Nazim Baya (fondateur du journal satirique 'El Manchar. Entrée libre

Alger, Les Tagarins. « Tagara » comme l’appellent les Algérois. Il est un peu plus de 10h. Bob vissé sur le crâne, j’enfile mon sac à dos et hop ! Me voici d’attaque pour une petite randonnée urbaine comme je les aime. Je dois préciser que je suis un marcheur invétéré, d’autant plus que je suis irrémédiablement fâché avec la conduite automobile. Non, les bouchons, les concerts de klaxons, l’irritabilité à fleur de « pneu », très peu pour moi…Alors je marche, oui, beaucoup. Et quand mes pieds ne me portent plus, je saute dans la station de métro la plus proche. Heureusement qu’il n’y a pas encore d’embouteillages au sous-sol de la capitale.

Je suis fondamentalement du matin. J’aurais voulu sortir plus tôt en ce mardi estival mais j’étais retenu par des « obligations électroniques » (des mails qui clignotaient « urgent »). Je me jette donc dans la rue et reçois d’emblée un coup de massue solaire sur la figure. Eblouissement. J’hésite entre prendre le chemin Pouyanne qui descend vers le Telemly ou bien le boulevard Malika Gaïd qui monte vers El Biar. Finalement, je me décide pour la seconde option. Je marche environ cinq minutes en longeant le périmètre de l’hôtel El Aurassi avant de rejoindre la grande artère, je tourne à droite, en direction du Ministère de la Défense. Il doit faire dans les 35°. Mon t-shirt est déjà auréolé de taches de sudation. Et puis, je chausse des godasses qui rappellent les chaussures de chantier, en prévision des kilomètres que j’allais avaler. Surtout que la contrainte que je me suis imposée est : pas de taxi, pas de métro, pas de bus, pas de moto, que ma « BM Double pieds » comme moyen de locomotion.

Sous les remparts de Dar Es-Soltane

Je longe l’imposante charpente métallique qui trône impérialement sur la butte des Tagarins en prolongement du MDN. Je prends la rue Taleb Mohamed ; passe à proximité du Commissariat à l’Energie atomique. Me voici à présent devant le porche qui donne sur la Citadelle d’Alger, Dar Es-Soltane. Cette route est toujours coupée à la circulation. Le charmant petit tunnel qui ne manque pas de pittoresque est soutenu par un enchevêtrement de poutres métalliques. Curieux mélange de pierres parlantes et d’acier froid. On dirait une installation artistique. Je traverse la galerie et sa forêt de poutres et je tombe de l’autre côté sur un groupe de jeunes, des filles et des garçons, assis à même le sol et écoutant religieusement les explications d’un guide. Je poursuis ma route à l’ombre des vieux remparts. Au Palais du Dey, les travaux vont bon train. On s’évertue à restaurer cette ancienne forteresse turque érigée entre 1516 et 1591 par les Frères Barberousse, fondateurs de la Régence d’Alger. C’était au début une caserne des Janissaires, et à partir de 1817, elle devint résidence officielle des Deys, d’abord Ali Khodja ensuite le Dey Hussein. Fodil, un cadre technique qui supervise les opérations de restauration, m’a assuré que les travaux prendraient environ quatre ans « juste pour le Palais du Dey ». « Après, ça va être un musée ouvert à tout le monde. » Fodil n’est pas peu fier de préciser que « toutes les équipes qui travaillent sur ce chantier sont des entreprises algériennes ».

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© Moumen

Saha, Amar !

Je sors côté Serkadji. La prison a été fermée pour être transformée en musée. Je m’engage à droite, rue de la Victoire. Je m’engouffre dans le dédale des rues de la Haute Casbah par la rue des Maghrébins. Je débouche sur une place dont une partie a été transformée en parking. Sur un mur de la rue Larbi Triki se détache un portrait « street art » de Hassiba Ben Bouali. Entre échoppes, ateliers artisanaux et terrains de foot, l’histoire est, décidément, toujours à l’affût. Des gravats jonchent le site. L’action du temps sur la vieille ville me laisse songeur. Décombres et mémoire vive ; cendres, ruines et puissance du présent. J’enchaîne par la rue Ali Zerari et me retrouve à Sidi Ramdane. Un groupe de touristes admire la vue panoramique sur la baie depuis ce belvédère ; ils scrutent l’architecture de la médina et son tissu organique exceptionnel. En contrebas, des douirate effondrées rappellent l’urgence de s’occuper de la Casbah. A quelques pas de la fontaine de Sidi Ramdane : Le Repère, petit resto sympathique ceint d’une clôture de tiges de roseau qui lui donne du caractère. A l’intérieur, c’est plein de photos d’époque dont une grande affiche du film mythique La Bataille d’Alger (J’ai adoré le making of « politique » du film tel que raconté par Malek Bensmaïl dans son magnifique : La Bataille d’Alger. Un film dans l’histoire). Une forte odeur de poisson frit emplit l’atmosphère. Je sors dare-dare et me rafraîchis le visage à la fontaine de Sidi Ramdane. Je continue à dévaler les escaliers, recoupe la rue Sidi Driss Hamidouche. Je suis mon chemin jusqu’à la grande rue transversale qui mène vers le mausolée de Sidi Abderrahmane. C’est la rue Arbadji. Je pousse jusqu’à la Rampe Arezki Louni (ex-Rampe Vallée alias « Ronvali ») et je me retrouve à l’orée du jardin de Prague, ex-Marengo. Immense pensée à Amar Ezzahi qui nous a quittés le 30 novembre 2016, et dont ce jardin était une sorte de « khoulwa », un sanctuaire spirituel pour le mystique urbain qu’il était.

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© Moumen

Bab El Oued en travaux

Il est 11h passées. Je salue Simon Bolivar dont le buste luit au milieu du rond-point qui jouxte le lycée Okba. Magnifique perspective sur la mer depuis ce promontoire. Je descends par la rue Taleb Abderrahmane. En bas des escaliers, des mômes jouent au foot dans un espace grand comme un mouchoir de poche. Ils chantonnent : « Kilou batata, kilou mechemèche / Imène ou Omar fi Mercedes ». Trop mignon !... Je traverse l’avenue Mohamed Boukella (ex-rue de la Marne). Les immeubles de cette artère qui donnent sur le marché Nelson, aussi bien que ceux qui entourent la salle Atlas, sont enserrés par des échafaudages ; leurs façades sont protégées par de lourdes bâches de construction. Même topo au long du boulevard Mira, sur le front de mer. Il faut rappeler que Bab El Oued – mon quartier adoptif – a été lourdement frappé par les inondations du 10 novembre 2001 puis le tremblement de terre du 21 mai 2003 et, dernier coup en date, le séisme du 1er août 2014, si bien que le quartier n’en finit pas de panser ses plaies et compter ses IMR (immeubles menaçant ruine, une quarantaine au moins).

Qu’est-ce que j’ai noté, là, sur mon petit calepin ? Oui… « Fontaine de l’Espérance ». Il s’agit de cette fameuse sculpture arboriforme plantée au bord d’un bassin à jet d’eau au milieu du jardin Taleb-Abderrahmane, toujours à BEO. « Emblème de paix et de fraternité », la sculpture a été inaugurée le 7 juin 2010 par le wali d’Alger et le maire de Marseille. Je me pose là pour dix minutes de répit. Le jardin grouille de vie : bambins, mères de famille, jeunes, SDF, tout le monde vient y trouver refuge contre la canicule

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© Youcef Krache

 

Métro, boulot, plongeon

Je reprends mon bâton de pèlerin. Direction : la plage El Kettani (ex-Padovani). L’esplanade qui surplombe la mer offre une vue imprenable sur Bab-El-Oued. L’un des trois bassins formant les piscines El Kettani qui sont alimentés par l’eau de mer, est joyeusement pris d’assaut par des enfants. Une nuée de parasols s’entasse sur les rives de R’mila. « Les gens viennent de partout, de Bachdjarrah, El Harrach, Baraki… » me dit M.Labadi, médiateur à la municipalité de Bab El Oued et président d’une association locale de lutte contre la drogue. Il faut dire que depuis l’extension de la ligne du métro à la Place des Martyrs, cela a permis une plus grande mobilité à nos concitoyens de la banlieue qui peuvent désormais profiter de cette plage urbaine. A l’Est, c’est Bordj El Kiffan qui a la côte, avec ses anses et ses plages de proximité où on peut se rendre en tramway. Belle revanche sur les années maussades où l’on se privait des plaisirs balnéaires les plus basiques et les gestes récréatifs les plus anodins. On ne peut plus dire : « Alger tourne le dos à la mer » ;« gaspillage de soleil »… En témoignent justement ces quais de béton nu encore inachevés, squattés jusqu’au dernier carré.

Je poursuis ma déambulation dans le sens du Stade Ferhani sous le regard de Ronaldo figé dans un panneau publicitaire mondialisé. J’observe une halte devant une petite crique qui s’appelle Plage Eden, à l’entrée de Bologhine. Brouhaha festif en contrebas du muret qui borde la route. Des jeunes survoltés en short, torse nu et le teint hâlé, s’amusent comme des fous sur les rochers. Jeux d’eau et jets de rires. Ils me rappellent les héros juvéniles du film Loubia Hamra de Narimane Mari. Je suis impressionné par les maisons sur pilotis au fond de la crique, et qui manquent s’effriter. Comment font-elles pour tenir ?

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© Moumen

 

« Ni Mouloudia, ni USMA ! »

13h20. Pause-déjeuner au Séquoia, restaurant qui voisine avec le cimetière chrétien de Saint-Eugène. Je grignote de succulentes sardines farcies de « darssa » et avale cul sec deux verres de gazouz Hamoud Boualem blanche. Quand il me voit débarquer ainsi, brûlé par le cagnard, le visage rouge comme une crevette, Sid Ali, le patron, me lance : « Pose ton sac et va faire trempette ». Je lui demande comment il fait les jours de match, surtout lors d’un derby Mouloudia-USMA, son établissement étant niché à quelques mètres du stade Omar-Hammadi. « J’ouvre quand même, ma âla baliche bihoum » rétorque-t-il. « Et personne n’a intérêt à faire le mariole, sinon, el matrague. Il n’y a ni Mouloudia, ni USMA. Pas de quartier ! »

A partir de là, je reviens sur mes pas. Direction : Champ de Manœuvres-Belcourt. Je transite par Malakoff. Des palissades estampillées « Meditram » couvrent une placette décapée pour des travaux de réaménagement. Là aussi, ravalement de façades et grand ménage au profit des bâtiments alentour. Des ouvriers suspendus sont à la tâche. « Eskhana » lance un manœuvre. « Il fait chauuud ! » « Normalement, tous les 50 ans, ils refont les immeubles. R’chaw» fait-il remarquer, avant de se raviser. « Mais comment vont-ils faire en attendant ? Les gens vont habiter où ? Ghachi k’bir. Il y a trop de monde».

Je remonte par le boulevard Mira en égrenant les enseignes : El Kettani, Bastion 23, la plage de Qaâ Essour, l’Amirauté, Bab-Edzira, la place M’hamed El Anka….15h05. Halte réparatrice au café Tilimçani, place Hadj M’rizek. Je sirote mon breuvage vite fait. Je reprends des forces et traverse la Place des Martyrs. Celle-ci s’est refait une beauté, avec, à la clé, un site archéologique protégé par une grille adossée à la station de métro. Un panneau explicatif donne un aperçu des vestiges (de la période ottomane) découverts ici à la faveur de fouilles récentes : « Cette place était occupée par deux édifices majeurs : Bayt el-mâl et la mosquée El Sayyida » peut-on lire

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© Youcef Krache

Au nouveau théâtre municipal

Je continue sous les arcades de Bab-Azzoune jusqu’au TNA. L’ex-Opéra d’Alger est cadenassé de partout par des barres métalliques et sa façade est voilée. Ne subsiste qu’une longue affiche de l’ONDA : « Fêtons Algérien ». La place Mohamed Touri est elle aussi sens dessus dessous à cause des travaux, de même que le Square Port-Saïd. L’immeuble au-dessus du Tantonville connaît le même sort.

Je remonte la rue Ali Boumendjel. Je fais escale devant le nouveau Théâtre municipal d’Alger (ex-Casino). Pas de représentation au programme ; en revanche, plusieurs ateliers sont proposés (interprétation, mise en scène, écriture dramatique…). Au Mama, l’expo « Patrimoine pictural » est encore à l’affiche. Forte pensée pour Choukri Mesli, disparu le 13 novembre 2017. Je rentre ensuite à la Librairie du Tiers-monde. Ressors avec L’Etrave, le roman posthume de Nabile Farès, et deux Dib : Les Terrasses d’Orsol et Neiges de Marbre. Ah, et puis ce petit livre qui a piqué ma curiosité, sorti chez Barzakh : La Théorie d’Alger de Sébastien Lapaque. Des touristes prennent la pose sous la statue de l’Emir. A quelques pas en bas, sur la rue Asselah Hocine, encore un bâtiment éventré : l’hôtel Aletti

 

Quelle ville écrivent ces ouvriers suspendus ?

Décidément, de quelque côté que je me tourne, j’aperçois des hommes coiffés de casques affairés autour d’une bâtisse tels des chirurgiens du BTP. Impression d’un immense chantier à ciel ouvert. Et je me demande : à quoi ressemblera l’Alger post-échafaudages ? Quelle ville sont en train d’écrire ces ouvriers suspendus ? A noter que pas moins de 1579 immeubles anciens ont été programmés pour des opérations de rénovation pour la seule année 2018 selon des chiffres officiels. En outre, 1692 bâtisses ont été rénovées entre 2014 et 2017. Et il reste encore du boulot quand on sait que le parc total de bâtiments nécessitant intervention compte quelques 14767 édifices recensés par la wilaya d’Alger. J’avoue que cette attention des pouvoirs publics me rassure. Même la « Maison Hantée » (Raïs Hamidou) a été retapée à neuf, c’est dire…(quoique je regrette un peu – je l’avoue – l’ancienne carcasse). Oui, ce vaste chantier me rassure même si j’ai du mal parfois à me faufiler sous les échafaudages. Je me dis que la préservation de tous ces vieux « immeubles de rapport » qui sont si caractéristiques de Bab Azzoune, de Bab El Oued, de la rue Larbi Ben M’hidi, du boulevard Amirouche, de la rue Hassiba, de la rue Didouche…. constitue un enjeu identitaire pour Alger. On ne peut que s’en réjouir, surtout quand on regarde le massacre en règle de quartiers entiers de la capitale. Depuis que je sors de chez moi, je ne vois que des villas coloniales abattues, des maisons de maître sacrifiées, avec jardins et arbres centenaires, pour laisser la place à des buildings sans âme et des tours au goût architectural le plus souvent douteux. Le tout sans laisser le moindre centimètre de foncier respirer. Et cette tertiarisation des quartiers résidentiels se voit partout : au Telemly, à El Biar, à Hydra, au Golf, à Ben Aknoun…"A Kouba, une maison sur quatre affiche un permis de démolir" me disait un jour l’architecte Hasna Hadjilah. C’est l’autre face de ce gigantesque chantier qui est en train de transformer le visage d’Alger.

A une terrasse de café près de la Grande-Poste, je me vois héler par une voix amicale au timbre éraillé : c’est mon ami Arezki Tahar que tout le monde appelle Kiki. Il me parle de son goût pour la marche et ses émois de flâneur passionné se pâmant devant les charmes d’Alger. « Mon plaisir, c’est de marcher jusqu’à Saint-Eugène et rentrer à 9h du soir, apaisé » me confie-t-il. On parle des noms de rues et il me cite une ruelle près de Djamaâ El Kébir qui s’appelait « Rue des Lotophages ». Je songe d’emblée à L’Odyssée d’Homère. « Je vais te dire quelque chose que tu ne vas peut-être pas croire : pour moi, Alger est la plus belle ville du monde » tranche Kiki. Mais bien sûr que je te crois mon ami. Je suis du même ravissement permanent, et cette déambulation exquise vient, si besoin est, m’y conforter. Hors embouteillages, Alger fait sacrément du bien à l’œil et à l’âme.

 

« Smile City »

Je prends congé de Kiki et poursuis ma balade urbaine en traversant la Grande-Poste, la Fac centrale, la place Audin… Sur un panneau bordant la place, une affiche retient mon attention : c’est celle de l’évènement « Smart City » (villes intelligentes) qui a eu lieu en 2018. Et je me plais à rêver d’une ville plus gaie, plus tendre, plus sociable, plus sociale, plus humaine, moins austère, moins commerciale, moins cannibale ; une ville qui ne dévore pas ses enfants, qui ne chasse pas ses hôtes, ses « Africains », ses Chinois, ses métèques de toute race ; qui ne jette pas ses vieilles sur le trottoir et n’accable pas ses mères célibataires ; une ville résolument douce comme une caresse. Folle comme le Panaf de 69. Une ville cosmopolite tout en assumant son sale caractère, ses houmas, ses humeurs, son chaâbi et sa redjla lyrique façon Omar Gatlatou. Une ville souriante. Smile City. En intelligence avec la mer, ce qu’il y a de plus ouvert sur l’inconnu…

 

Mustapha Benfodil

 

Ma Box Alger, en partenariat avec Cazanimo vous invitent ce samedi 25 janvier de 14h00 à 19h00, au premier événement dédié aux animaux de compagnie, à la sensibilisation et à la protection de ces derniers. Ça sera l’occasion de croiser plein d’animaux, des passionnés et des spécialistes. Chiots et Chatons seront proposés à l'adoption sous les conseils des professionnels présents. Vous aurez également l’occasion d’en apprendre plus sur les actions et associations présentes et sur les possibilités de vous joindre à eux pour ce noble combat. Le tarif de participation est de 1900 Da. Une partie des fonds sera reversée aux organismes présents qui luttent pour la protection des chiens et des chats. Pour plus d’informations, veuillez contacter les organisateurs aux 0557 89 53 07 – 023 30 06 34

Adresse : 97 Lot Ouahrani Abdelkader Oued El Romane, El Achour

Fermé en 2006, le restaurant du pont d'hydra vient juste de rouvrir ses portes. Il s'affiche comme un établissement 4 étoiles et propose une cuisine gastronomique à mi- chemin entre spécialités françaises et algèriennes. Magret de canard, entrecôte bordelaise, suprême de canard aux poivres ,Châteaubriant, couscous, méchoui d'agneau, délice de mérou, bananes flambées...Grande salle élégante et spacieuse, musique classique, carte de vins et liqueurs, belle terrasse et parking disponible. Pains faits maison et large choix de poissons et crustacés. Bon appétit!

Le 30 janvier 2020, l’Institut français d’Alger et plus de 20 partenaires organiseront la 4ème édition de La Nuit des Idées et proposeront plus 34 activités autour de la thématique « Etre vivant » et cela dans plus de 20 lieux à travers Alger. Conférences, rencontres, tables rondes, projections, concerts et bien d'autres activités qui permettront ainsi de dresser un panorama complet du vivant en association aux arts, pour permettre au public, en une riche nuit, de vivre les cultures.

 

PROGRAMME DE LA NUIT DES IDEES 2020

1- Conférence-rencontre avec Kaouther Adimi, Institut français d’Alger, Salle de spectacle, 18h00 – 20h00, 07 Rue Capitaine HASSANI, Alger, Algérie. 

Réservation à l’adresse: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

2- Film documentaire « Demain est à nous»16h00-17h45, à l’Institut français d’Alger (salle de spectacle), 07 Rue Capitaine HASSANI, Alger. Ce sont des enfants venus des quatre coins du monde, des enfants qui se battent pour défendre leurs convictions. Ils s’appellent José Adolfo, Arthur, Aïssatou, Heena, Peter, Kevin et Jocelyn... Jamais ils ne se sont dit qu’ils étaient trop jeunes, trop faibles, trop isolés pour se lever contre l’injustice ou les violences. Au contraire, grâce à leur force de caractère et à leur courage, ils inversent le cours des choses… 

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3- Exposition Afrique en « créa-action»à partir de 18h00 à l’Institut français d’Alger (salle d’exposition), 07 Rue Capitaine HASSANI, Alger. Dès le 15 janvier 2020, un chantier artistique en ébullition/ un  laboratoire de création sera amorcé. Les contours de la création (soit un collage photos soit une installation d’art plastique à définir ultérieurement), en adéquation avec la thématique, citée ci-dessus, seront déjà esquissés par le collectif des étudiants africains d’Alger. Dans la soirée du 30, en présence du public sous forme de performance, le collectif des étudiants africains Carrefour CADENKOSO sous la présidence du Dr Moussa Sissoko pourra alors achever son œuvre. Entrée libre.

4- Lecture à voix haute : être vivant, l’écrire, le dire et le lire en une nuit brillante d’idées nouvelles !  20h00 – 21h45 à l’Institut français d’Alger (médiathèque), 07 Rue Capitaine HASSANI, Alger. À l’occasion de la nuit des idées, une scène vous est dédiée à la médiathèque de l’Institut français d’Alger, afin de lire à voix haute vos textes préférés. Pour participer, merci d’envoyer vos textes à l’adresse suivante: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. avant le dimanche 26 janvier.

5- Place aux petits ! : la médiathèque hors les murs, Hôpital Lamine Debaghine (ex-Maillot), 18h00 – 19h00, Bab El Oued, Alger. « Etre vivant » c’est vivre, apprendre, rire, jouer et lire. Et c’est aussi le combat que mènent plusieurs enfants malades dans différents hôpitaux. Zahia et son équipe s’invitent à l’hôpital Lamine Debaghine (Ex Maillot) pour une séance ludique pleine de partage et de convivialité ! Au programme : lecture du conte « Encore un frère! ».

6- Place aux petits ! : la biodiversité qu’est-ce que c’est ?, Institut Français d’Alger, Médiathèque, 20h00 – 21h15, 07 Rue Hassani ISSAD, Alger. À quoi servent les fleurs dans les villes ? Pourquoi protéger les araignées ? Quel est le rôle des plages ? La nature va-t-elle disparaître ? La biodiversité, tout le monde en parle, sans toujours savoir ce que c’est. Zahia vous propose de découvrir les richesses de notre planète et quelques idées pour la protéger. Une animation destinée aux enfants de 8 à 12 ans (espace France contemporaine).

Réservation à l’adresse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

7- Place aux petits ! : les mystères des animaux, Institut Français d’Alger, Médiathèque, 20h00 – 21h00, 07 Rue Hassani ISSAD, Alger. Découvrez le fabuleux monde animal en s’amusant. Un atelier multimédia destiné aux enfants de 5 à 7 ans pour développer leurs connaissances du monde vivant  (espace Image et son). Entrée libre.

8- Tournois de jeux vidéo, Institut Français d’Alger, Médiathèque, 20h00 – 00h00, 07 Rue Hassani ISSAD, Alger. Vous aimez jouer? Vous aimez vous divertir? Venez participer à nos tournois de jeux vidéo sportifs au niveau de l’espace « Image et son » Au programme : FIFA 20 et PES 20 sur consoles et des jeux de course sur ordinateurs. Entrée libre.

9- Concert de musique, Institut français d’Alger, Médiathèque, 22h00 – 23h00, 07 Rue Hassani ISSAD, Alger. Pour la 4e  édition de la nuit des idées, un univers musical inédit est  proposé à la médiathèque. ZAKI PROJECT revient avec une fusion des sons chaâbi, méditerranéen,  maghrébin et afro- gnawi. Un voyage  exceptionnel à travers les genres musicaux s’offre à vous ! Entrée libre.

10- Exposition : Médiath’ART, Institut Français d’Alger, Médiathèque, 18h00 – 02h00, 07 Rue Hassani ISSAD, Alger. Depuis plus d’une année, La médiathèque de l’Institut français d’Alger a mis en place une parenthèse d’art plastique, une bulle d’expression libre au profit d’artistes professionnels ou amateurs souhaitant partager leurs créations avec les adhérents de la médiathèque. A l’occasion de la nuit des idées, la médiathèque accueille l’artiste peintre  ABLA  BENBAIBECHE, médecin de profession  et exerce la peinture en même temps.  L’artiste a  débuté par l’abstrait et le semi figuratif pour peaufiner son style en art naïf, elle propose une exposition de tableaux de peinture intitulée : « le monde vu par l’art naïf ». Entrée libre.

11- Conférence «Sommes-nous en équilibre avec le monde qui nous entoure», Institut français d’Alger –Annexe d’Hydra, Une salle de l’annexe d’Hydra, 18h00 – 19h30, 30 rue des frères KADRI, Hydra, Alger. Le titre de cette conférence ne prétend pas  trouver une réponse ferme et définitive, loin de là. Il se pose sous forme d’interrogation car il soulève de nombreux questionnements sur nos capacités d’adaptation au monde qui nous entoure. La Société évolue, l’information nous envahit tous azimuts à la vitesse de la lumière et l’on se doit d’être ou de devenir de plus en plus performant. Comment se sortir indemne de tous ces tiraillements et prendre le temps de vivre en harmonie avec soi-même et avec l’autre ? Les idées ne manquent pourtant pas, les exemples non plus. La plasticité de l’esprit, la richesse infinie de la pensée, la créativité et la curiosité constructive existent pourtant dans notre psychisme ; ces éléments ne contribueraient-ils pas à nous mettre en équilibre avec le monde qui nous entoure ? Et si nous agissions en donnant du sens à nos actions, que nous nous engagions à faire  fructifier notre élan vital et transformions notre stress en énergie positive ?  Là est la question, avec Pr. Ourida BELKACEM, Professeure  de Psychologie à l’Université d’Alger. Entrée libre.

12- Rencontre avec les «alumni» – Echange informel, Institut français d’Alger –Annexe d’Hydra, Une salle de l’annexe d’Hydra, 18h30 – 20h00, 30 rue des frères KADRI, Hydra, Alger. Echange informel entre les diplômés des écoles et universités françaises qui résident en Algérie et les  candidats. Entrée libre.

13- Soirée karaoké – large répertoire de la chanson française, Institut français d’Alger –Annexe d’Hydra une salle de l’annexe d’Hydra, 20h00 – 22h00, 30 rue des frères KADRI, Hydra, Alger. Se détendre en poussant la chansonnette avec ou sans talent. Vivre le temps d’une mélodie « Aimons-nous vivants » ou encore« Rester vivant»….. Faire connaissance et tisser des liens dans une ambiance festive. Animé par Yacine BELHADJ.   Entrée libre.

14- Jeu du cadavre exquis, Institut français d’Alger, Salle de spectacle, 21h00-22h00, 07 Rue Hassani ISSAD, Alger. Quoi de plus vivant que de jouer et rire ensemble avec le génialissime Kamel ABDAT, humoriste reconnu mais aussi enseignant de français, il viendra animer et vous faire participer au jeu du Cadavre exquis. Un jeu original et convivial, qui sera un moment de partage et de création commune pour aboutir  à des phrases insolites et déjantées !! Avec simplement : nom + adjectif + verbe + COD + adjectif, nous composerons à l’unisson des moments loufoques. Réservation à l’adresse: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

15- Conférence: Demain les posthumains: le futur a-t-il encore besoin de nous ?, École Supérieure Algérienne des Affaires, à partir de 18h00, Les pins Maritimes - BP 63 F - 16130 Mohammadia, Alger. Face au progrès incessant des sciences et des technologies, qu’advient-il des enjeux éthiques ? Observateur d’une nature humaine devenue incertaine, le philosophe livre un regard critique et pédagogique sur la naissance redoutée d’un monde posthumaniste, avec Jean-Michel Besnier, professeur émérite de philosophie à Sorbonne Université et Hafid Hamdi-Cherif, philosophe. Entrée libre.

16- Conférence : Météorites et émergence de la vie, Artissimo, École artistique, 21h00-23h00, 28 Rue Didouche Mourad, Alger. Très récemment, une équipe internationale a découvert dans deux météorites du ribose, un sucre qui rentre dans la composition d’une molécule clé de la vie : l’acide ribonucléique (ARN). À défaut d’organismes vivants, les météorites ont-elles apporté sur Terre les briques de la vie ? Quelles étaient les conditions physico-chimiques de la terre primitive ? Y a-t-il de la vie ailleurs dans le système solaire ? Comment la détecter ? En partant des météorites, nous aborderons toutes ces questions qui engagent notre passé en même temps que notre avenir, avec Matthieu Gounelle, professeur au Muséum d’Histoire Naturelle et chargé de conservation de la collection de météorites. Entrée libre.

17- Ateliers et sketches sur l’être vivant, École El Malek, 18h00-23h00, Lot Bouchebouk n° 31, 16320, Dely Ibrahim, Alger. Atelier plantes pour les tous petits, sketch sur le vivant pour le collège et exposé sur l’environnement pour le lycée.

18- Conférence : une vie en musique, Institut National Supérieur de Musique, 18h00 – 20h00, 01 Avenue du 1er Novembre, Casbah, Alger. Par ses palettes esthétiques et la gymnastique émotionnelle qu’elle entraine, la musique influe sur les processus physiologiques de l’homme. Sédative ou stimulante, elle dissèque nos souvenirs. La musique donne corps à toute impression évanescente, langage de communication, avec Dr Mouloud Ounnoughene, neurochirurgien et musicologue. Entrée libre.

19- Conférence : Quelle résilience face aux changements climatiques ?, École Polytechnique d’Architecture et d’Urbanisme, 18h00 – 20h00, Route de Beaulieu, El-Harrach, Alger. Face aux changements climatiques, engendrant sécheresse, montée des eaux et érosion des côtes, les pôles urbains sont en première ligne. Comment la ville peut-elle s’adapter face à cette mutation et ces risques socio-écologiques ?, avec Servane Guében-Venière, géographe, et post-doctorante à l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée. Entrée libre.

20- Atelier dessins pour enfants sur l’être vivant, SOS Bab El Oued, 18h00-21h00, Bab El Oued, Alger. Le doyen du dessin de presse Slim animera un atelier de dessin autour du vivant auprès d’un jeune public.

21- Atelier participatif «Dans le noir nous verrons clair, mes frères.», Le Pupitre, 18h00 – 00h00, 25 Boulevard ZIGHOUT Youcef, Alger centre. « Dans le noir nous verrons clair, mes frères » est un projet d’œuvre participative sonore proposé par le pupitre dans le cadre de la Nuit des idées 2020. Le public est invité à répondre à la question : Comment vivre demain ? Les contributions orales enregistrées durant la nuit constitueront par la suite une œuvre sonore consultable en ligne. L'esprit de ce projet est de mettre à la disposition du public un espace de parole libre et de réflexion autour d'interrogations communes, au sein d'un dispositif participatif et collaboratif. L'équipe du pupitre et ses acolytes accueilleront le public de 18h à minuit dans trois espaces d'enregistrement différents : une agora pour prendre la parole en public, un espace de conversation pour une discussion en groupe restreint et un espace confidence pour des enregistrements en solo. La Nuit des idées n'est que la première étape du projet : celle de la collecte des voix. Une fois les enregistrements mixés et montés, l’œuvre participative trouvera son achèvement une fois mise en ligne et consultable par tous. Réservation à l’adresse: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

22- Table-ronde «La biodiversité marine : des initiatives innovantes», Algerian Center for Social Entrepreneurship, 20h00 – 22h00, 107 Boulevard des Martyrs, Sidi M'hamed, Alger. Présentation de plusieurs projets associatifs innovants sur la biodiversité marine en Algérie. De la promotion du tourisme sous-marin à la pratique de la pèche écoresponsable et en passant par la dépollution naturelle de la mer, plusieurs associations de différentes wilayas algériennes côtières feront une présentation de leurs initiatives suivi d'un débat avec le public. Organisé par la Délégation de l’Union européenne en Algérie en partenariat avec des associations. Entrée libre.

23- Exposition «Le supermarché de l’art», Galerie Bloom, art factory, 18h00-23h00, 48 chemin Ibn Badis, Poirson, El biar, Alger. L’espace de la galerie se transformera en un véritable supermarché avec tous les symboles de notre société de consommation. Caddies, caissières, présentation en vrac…, avec Mimoun, artiste. Entrée libre.

24- Mur d’expression, Lycée International Alexandre Dumas, 18h00 – 23h00, Chemin Arezki Mouri, Ben Aknoun, Alger. Les lycéens animeront un mur d’expression artistique sur lequel ils laisseront libre court à leur imagination sur les sujets variés de l’écologie, la biodiversité et plus généralement le vivant, animé par Rachida Azdaou, professeur d’art plastique.

25- Conférence « Regards entrecroisés sur Alger,  cité vivante ! », El Bayazin, Maison d’édition, 18h00-20h00, Résidence petit Hydra BT/A Hydra 16000 Alger. Vue d’en bas,  à coup de crayon… en couleurs ou toute en sonorités : regards entrecroisés sur Alger : cité vivante. Photographe, auteur/caricaturiste, animatrice, jettent leur intime regard sur une génération qui se réinvente, anime et perpétue l’espoir grand de rester : vivant ! avec Hichem Baba Ahmed – Le Hic. Caricaturiste/Auteur, Ahmed Ait Issad. Photographe/Influenceur, Amel Feddi Animatrice/Productrice  chaine 3/radio Nationale. Entrée libre.

26- Atelier création, Ifru Design, 18h00 – 20h00,139 Boulevard Colonel Krim Belkacem, Alger. Animation d’un atelier de création design avec le public par l’artiste-plasticien Karim Sergoua. 

27- Lecture publique post-atelier d'écriture, Centre Culturel Universitaire Hamani, 18h00 – 21h00, CCU Sciences Humaines, 04 rue Aissaoui, à côté de la Mosquée Rahma, Alger. Lecture publique de textes élaborés lors d’un atelier d’écriture tenu le 25 janvier sur le thème « être vivant ». Entrée libre.

28- Table-ronde et exposition de peintures, Librairie le Point-virgule, 18h00 – 02h00, 8, 7 rue de abattoirs, Chéraga, Alger, Algérie. Soirée exceptionnelle avec table ronde – Exposition et musique. Table ronde animée par : Amin ZaouiRabéa DjeltiAmina MekahliMustapha NedjaiKamel Bouchama et Jaoudet Guassouma. Entrée libre.

29- Rencontre avec Amin Khan : Etre vivant, entre engagement et éthique, Librairie Chihab, 18h00 – 20h00, 10, Avenue Brahim Gharafa Bab El Oued, Alger. Rencontre avec Amin Khan, directeur de la collection « Nous Autres, le manifeste pour une Algérie heureuse ». Entrée libre.

30- Rencontre avec Hajar Bali autour de son nouveau roman «Ecorces», Librairie L’arbre à dires, 20h30 – 21h15, 48 Chemin Sidi Yahia, Hydra, Alger. Dans ce premier roman qui déjoue les codes de la saga familiale avec ampleur et modernité, Hajar Bali entrecroise les destins de ses personnages et les moments clés de l'histoire de l'Algérie du xxe siècle, explorant avec force et délicatesse la question de l'indicible. Ou comment rendre compte de l'humain, de sa complexité, de ses paradoxes, au-delà du langage et de ses axiomes, dans ce qui ne peut être nommé. Entrée libre.

31- Exposition, projection et animation musicale, Alpha Tango Studio, à partir de 20h00, 47 route de Ouled Fayet, Chéraga, Alger. COUP DE PROJECTEUR SUR LE CINÉMA ALGÉRIEN : une rétrospective des plus belles années du cinéma algérien à travers des extraits de films qui ont bercé nos vies et marqué notre imaginaire collectif dans une ambiance conviviale et festive. Entrée libre.

32- Rencontre avec l’écrivain Hamid Abdelkader, auteur de « L’homme de cinquante ans », à partir de 19h00 à la Librairie 88, rue Didouche Mourad, Alger. Entrée libre.

33- Soirée poétiqueà partir de 18h00 à la Librairie Mauguin, 18 place du 1er novembre, Blida. La librairie Mauguin organise pour la Nuit des idées 2020 un événement en trois temps autour du thème « Être vivant ». La soirée commence avec la rencontre intitulée « Être vivante, dans le reflet de l’âme des femmes ». Seront présentes trois dames à succès qui ont fait leurs preuves dans différents domaines du monde de la médecine, de l’art et de la littérature : Khaoula Khaldoune médecin gynécologue, Fatma-Zohra Benyahia professeur en lettres françaises et Faiza acitani Stambouli poétesse. Yasmine LOUNISSI, sera la modératrice de cette rencontre. La Directrice des Etablissements MAUGUIN vous invitera ensuite à une visite guidée de son musée miniature exposé au siège des Etablissements Mauguin jusqu’au 6 février 2020, intitulé : « Mauguin se raconte : dans le chemin du bonheur vers la pérennité absolue ». Entrée libre.

34- Rencontre avec l’écrivain-traducteur Salah Badis, auteur de « Ce sont des choses qui arrivent »  à partir de 18h00 au Centre Diocésain des Glycines, 5 chemin Slimane Hocine, Alger centre, Algérie. Le projet Savoirs et Culture Pour Tous du centre diocésain Les Glycines  se joint à la nuit des idées avec une présentation du tout dernier ouvrage du jeune écrivain et traducteur Salah Badis . Il s'agit d'un recueil de nouvelles intitulé "هذه أمور تحدث" (ce sont des choses qui arrivent) qui invite à une ballade dans les événements de la vie quotidienne; des événements qui vont du plus simple et banal mais qui reflète un certain rapport à la vie et au monde jusqu'au plus tragique  tel que la mort et les catastrophes naturelles qui font se poser des questions existentielles. La présentation sera suivie d'un débat qui s'annonce déjà très riche ainsi qu'une vente dédicace du livre. Entrée libre.

C'est une expo itinérante. Lille, Paris, Rabat, Bruxelles et Alger bien sûr. Elle s'intitule 'Hommages ' et elle est signée par l'artiste plasticien Abdelhalim Boukhalfa. Vernissage prévu à la galerie d'art Ifru Design  (Telemly) vendredi 17 janvier à 17 h 30. L'expo est visible jusqu'au 31 janvier. Entrée libre.

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